Yves Viollier "Raymonde"

"Oh Dieu, pourquoi donc en mourant ne nous as-tu pas mués en dieux ! Ma trajectoire quand je m'éfforce de toute mon âme de la maintenir en droit ligne, si je me retourne elle ressemble à ces sillages laissés par les avions, dont le trait un instant précis, peu à peu se dissout, devient flou. Et tout est à refaire, tout s'efface, tout se ternit. Seigneur, donne moi un bout de ton crayon à la pointe si bien taillée, et guide ma main, que je fasse le portrait de ta création, que ce que j'écris te ressemble" Yves Viollier "Raymonde"



"Il va sans dire que la vie n'étant pas une bibliothèque rose elle ne respecte guère ces intentions édifiantes" François Nourissier in "Musée de l'homme"

dimanche 11 novembre 2007

JD SALINGER AMAZING STORY PART II



Nous avions précédemment quitté JD SALINGER encore adolescent.....



Au printemps 1939, il s'inscrit pourtant à New York au cours d'écriture donné pr Whit Burnet. Ce dernier est le rédacteur en chef passionné de la revue Story, où il permet à de nombreux jeunes auteurs de faire leurs premières armes, notamment William SAROYAN, dont SALINGER appréciera les débuts.


En janvier 1940, SALINGER y signe une nouvelle intitulée "The Young Folks". Cettre première publication lui ouvre la voie. Il vend bientôt des nouvelles au Collier's puis à l'Esquire et au Saturday Evening Post où , heureux présage, publia Francis Scott Fitzgerald, qu'il admire.


En 1941, le prestigieux New Yorker accepte de publier un texte qui lui tient particulièrement coeur : l'histoire de la fugue d'un collégien nommé Holden Caufield... Hélas, en temps de guerre, le sujet est alors trop futile, et la nouvelle finalement rejetée.

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