Du n'importe quoi tchette affaiireeuu !
Du vrai n'importe quoi et à tous les niveaux.
Tout d'abord de la part de ceux qui jettent la première pierre contre Polanski, "cet ignoble individu pédophile, ayant violé une pauvrette de 13 ans etc...".
Mon Dieu, Mon Dieu que ces gens là sont à côté de la plaque car s'il y avait une tendance sexuelle chez Polanski, cela serait de l'Ephébophilie (attirance sexuelle envers les jeunes n'ayant pas atteint leur majorité sexuelle). Déjà quand on parle de quelque chose, il faut savoir clairement de quoi il s'agit. On a eu notre Polanski avec l'humoriste Patrick Fonte (de Fonte et Val qui passaient chez Ruquier), souvenez vous. Qu'on se le dise.
Puis que faisaient les parents, notamment la mère pour protéger cette jeune femme qui allait au casse pipe ! (ne cherchez pas de jeu de mots). Elle n'avait que 13 ans, en prétendait plus pour pouvoir participer à un casting de Vogue (ce n'était pas pour devenir animatrice de Wall Disney apparemment). Vogue était la marque de référence pour toutes les apprenties mannequin. Déjà à cette époque, en 1977, la drogue, l'alcool et les parties de jambes en l'air (favorisées par l'apparition de la pilule) étaient de rigueur. La promotion canapé dans ce milieu là était de rigueur. Il n'aura fallu que l'apparition du SIDA pour freiner ces orgies. Les parents auraient du empêcher leur fille d'y participer. Surtout que la gamine avait menti sur son âge. Mais il est vrai que des mères frustrées croient revivre leurs rêves de jeunesse en envoyant leurs filles aux castings, l'ignoble concours de mini Miss etc...
Les années ont passé, 32 ans exactement. Et voilà qu'on remet l'affaire sur le tapis. On arrête Polanski alors qu'il allait recevoir une récompense pour l'ensemble de son oeuvre. Hypocrisie des autorités suisses pour le coup, car Roman Polanski a une résidence en Suisse, il y allait en toute liberté sans être inquiété. Pourquoi ne pas y aller chez lui ! Franchement, ils aiment se mettre en scène les gendarmes (ou la police c'est pareil).
Puis la victime (ou la pseudo victime) demande sans arrêt au nom de la préservation de sa famille d'arrêter les poursuites envers le metteur en scène. Il est vrai qu'elle a raison. Elle a peut être pas envie mettre en avant ses déboires de jeunesse face à ses enfants (elle en a trois). Son mari aurait peut être envie qu'on leur foute la paix, qu'on les laisse vivre leurs vies tranquilles. La page est tournée. Elle est heureuse dans sa vie, elle est loin de l'image de la femme névrosée accumulant dépressions sur dépressions, à la vie chaotique.
Raté, elle est encore sous les feux des projecteurs des journalistes avides de sensationnels et le cauchemar recommence. A cause de l'acharnement viscéral des autorités américaines. Roman a assez payé comme ceci en se trouvant dans la position de l'exilé.
Peut être pour court circuiter toute cette procédure, il aurait eu le geste de rencontrer sa victime seul. De pouvoir s'expliquer, de discuter. Cela aurait eu le don de crever l'abcès.
Le cas Polanski n'est pas le seul hélas ! Avec toute cette apparition de générations spontanées de Lolitas, maquillées, aux looks tapageurs et à l'allure plus que provoquantes. Tout ceci est angoissant pour le futur... Surtout après ce que je viens de lire...
Ah mais oui, comme je suis naïve, il est plus facile de choper un Polanski peu dangereux que de récupérer un Ben Laden bien plus nuisible à la sauvegarde des citoyens occidentaux. A moins que celui ci ne soit qu'une marionnette des autorités de l'époque Bush pour être le prétexte à des guerres inutiles. Vu que le doute sur la véracité concernant les évènements du 11 septembre 2001 grossit de plus en plus dans le monde occidental.
Enfin, j'espère que ceci sera un non évènement et que les autorités suisses ne céderont pas plus face au diktat des américains.
1 commentaire:
Sacrée affaire. Encore une de plus pour la Suisse...
No comment...
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