RICHARD BOHRINGER IN OWN WORDS
Extrait de l'interview donnée à Ouest France du 27 mars
- Comment allez vous ?
Je suis libre et nu. Comme un grand singe. Je suis détaché du paraître et me suis mis en marge de ma profession. Les lunettes de soleil, les vitres fumées, le manque de générosité, ce n'est pas une famille tout ça ! Je suis donc désormais plus Richard que Bohringer.
- Ce week end vous serez dans les allées du printemps de Montaigu. On vous connaît pourtant moins comme auteur que comme homme de cinéma...
Quand vous n'êtes pas dans votre carrière, on ne vous laisse rien. Les livres, eux, me donnent beaucoup de satisfaction. L'écriture, c'est venu comme la vie, comme l'amour. J'ai été élevé au romanesque, à la brûlure, au n'importe quoi et aux grandes histoires d'amour. J'écris depuis cinquante ans. Je ne sais pas très bien d'où me vient cette nécessité, cette urgence. Ecrire est un combat.
Richard au coeur de lion, le guerrier. Un très grand bonhomme !
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